Virginie Morillo provoque l’ambiguïté où le visqueux et la moisissure deviennent beaux et séduisants. Collectionneuse de livres érotiques, de fanzines sur les mouvements féministes, elle enquête sur les collectifs artistiques qui utilisent le corps et la sexualité dans leurs performances. Un sauvage besoin de retracer une époque, de comprendre certains rites et moeurs, les images et les censures, de dévoiler l’interdit.
Collectionneuse de livres érotiques, de fanzines sur les mouvements féministes, Virginie Morillo enquête sur les collectifs artistiques qui utilisent le corps et la sexualité dans leurs performances. Un sauvage besoin de retracer une époque, de comprendre certains rites et moeurs, les images et les censures.
Ces images pornographiques du passé souvent bannies des regards ou camouflées dans un tiroir, sont mises en scène sur une parure de lit. Des poupées crash-test nées de ses fantasmes sont alanguies sur le duvet, elles sont le fruit d’une collaboration avec sa mère et réalisées en patchwork de tricot et de transfert.